Cette valeur est perçue comme celle des gens honnêtes…. Si on compare le travail présenté comme valeur fondamentale de toute civilisation humaine à l’activité concrète qu’il est pour celui qui le pratique, on peut s’étonner de la distance existant entre la théorie et la pratique : concrètement, travailler c’est se donner de la peine pour obtenir un résultat. L'Homme évoluant dans le temps se crée différentes cultures et ainsi se crée différents actions et états dont il a besoin pour parvenir au bonheur. Humain, trop humain a été écrit dans un moment de crise : Nietzsche est alors en très mauvaise santé et des. La liberté – 2ème partie : Accepter de ne pas être libre, c’est être libre. Les premiers sont universels, les seconds sont variables d’un groupe humain à un autre. Si, à l’origine du travail, l’on doit poser les besoins du corps et une nature plus ou moins avare de ses dons; très vite, la lutte de l’homme avec elle crée des biens en quantité indéfinie. La seule différence véritable est que le choréique sait qu’il est malade, alors que le joueur se croit plus sain que le travailleur lui-même, dans son magnifique arrachement aux choses terrestres. Néanmoins, nombreux sont les « méchants » à clamer leur innocence, se faisant fort de circonstances atténuantes ou d’un autre système de valeur. Marcher, c’est se déplacer d’un point à un autre, avoir une destination et s’y rendre. La thèse que soutient Nietzsche dans cet extrait est la suivante : la conscience n’est pas naturelle à l’homme, elle n’est née que par les relations des hommes entre eux, nées elles-mêmes par le besoin naturel de l’homme à communiquer avec ses congénères. En réalité, le rapport de l’homme au travail est plus complexe que ne l’affirme Marx, car au-delà de la pénibilité et de l’effort dont l’étymologie même du mot témoigne, le travail est aussi perçu et conçu comme l’activité par laquelle l’homme devient pleinement humain. ; Politique de confidentialité Il y a 169 ans, naissait le philosophe allemand. ». Ce philosophe Allemand avait pour projet d’instituer de nouvelles valeurs morales, politiques, philosophiques et religieuses en critiquant la société occidentale moderne et ses mœurs. Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Explication De Texte De Niezsche Extrait De Humain Trop Humain, I, § 611 (philosophie) Ce document contient 1160 mots soit 3 pages.Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Pour s’arracher à la pesanteur, il faut s’ouvrir à un mouvement qui n’est plus du tout contraint par ce cycle, échapper au conditionnement pour retrouver une légèreté perdue. Contre les imaginatifs . Cependant, à titre individuel, ce texte permet à chacun de resituer la place que le travail a dans sa propre vie. On l’a vu, ce texte a pour premier objet de remettre le travail à sa place. Un livre pour esprits libres. Or nous n’avons pas de prise sur une telle intention, que la morale. Ce n’est pas tant la liberté qu’évalue la morale que le motif d’action. Entre la chorée et la chorégraphie, il y a un pas que seule la volonté permet de franchir. Nietzsche, Humains, trop humains. Nietzsche, "Humain trop humain", Extrait : commentaireExtrait à commenter de Humain trop humain (de F. Nietzsche) : Le besoin nous contraint au travail dont le produit apaise le besoin : le réveil toujours nouveau des besoins nous habitue au travail. Nietzsche mènera une telle critique du travail dans d’autres ouvrages. Notons cependant que c’est bel et bien ainsi que les choses se passent : pendant que l’écrasante majorité s’est suffisamment accoutumée au travail pour s’y enfermer ou pour souffrir de ne pas y participer, quelques autres –rares- prennent conscience que ce caractère inéluctable du travail est une illusion et s’en libèrent. Le joueur croit tromper l’ennui quand c’est en fait son propre conditionnement au travail qui le trompe en lui faisant croire qu’il suffit de s’agiter gratuitement, de suer sans raison pour être libre. Ou danser ? Nietzsche : sa pensée en dix citations. Mais peut-être pour le droit d’avoir et de modifier nos opinions. «Dès qu’il n’existe pas de contrainte physique ou autre, le travail est fui comme la peste» écrit Karl Marx dans son Manuscrit de 1844. C’est loin de ne concerner que ceux qui ont pour métier de faire de l’art ou de la philosophie. Elle assigne les hommes à ces valeurs, les somme de les respecter. Même si on peut voir avec intérêt l’idéologie traditionnelle dont le travail est la valeur centrale, être démontée par Nietzsche, on peut se demander si cette démarche ne conduit pas à retrouver la vieille séparation qui existait dans l’antiquité entre les humains qui étaient voués à la peine et au labeur, et ceux qui pouvaient, par loisir, s’adonner aux pratiques gratuites, en somme entre les esclaves et les maîtres. Si le travail naît du besoin, pourquoi l'homme travaille-t-il au-delà de ses besoins? Le travail condamne à demeurer dans le cycle production/consommation, cycle qui demeure nettement en deçà des aspirations nietzschéennes. C’est là que le texte devient problématique. N’agit-on pas toujours en fonction d’une certaine définition du bien ? Autrement dit la vision de bonheur est-elle la représentation d’un bonheur à conquérir ou la présence même de ce bonheur à laquelle je m’élève dans l’oisiveté spéculative la plus complète? On le voit, le travail y est conçu comme non seulement pénible, mais aussi comme entrave à tout ce qui peut grandir l’homme au dessus de sa condition trop humaine. Mais on l’a vu, le joueur est conditionné par l’habitude du travail. L’immédiateté n’est pas le domaine de l’homme, contraint à ne jamais connaître la jouissance. Humain, trop humain,Nietzsche 1878 La science est enorme, car qu’elle nous permet de découvrir des vérités. Quitter le terrain stable qu’est le travail pour aller vers des notions telles que « planer », « danser », voila qui peut laisser sceptique quant à la logique développée dans ce passage. Ceux qui s’étonnent de voir certains pratiquer le jeu de manière continue, d’y revenir sans cesse, de ne pas s’en lasser sont finalement ceux qui n’ont rien compris au jeu : par essence il n’a pas de fin puisqu’il est à lui-même son propre besoin. Loin d’être un appel à la paresse, la remise en question du travail n’a ici comme projet que de confronter le travail à ce qui le dépasse, et de confronter l’homme, trop facilement ravalé au rang d’ouvrier, à ce qui peut lui aussi le dépasser, et qu’il est en puissance. Humain, trop humain ,Nietzsche 1878 Le jeu n’envisage pas le monde comme une marchandise, il ne le conçoit pas comme un ensemble de potentiels qui doivent être mesurés avant d’être exploités en vue d’une réponse à nos innombrables besoins. Comprendre la différence entre Socrate et les sophistes, par J.J. Rousseau et par l’absurde. On le voit, si cette danse est de l’ordre du jeu, elle n’est plus une fuite mais un envol, avec tout ce que cela implique de volontaire. Travailler ? Les termes d’artiste et de philosophe peuvent, là aussi, laisser penser que le texte concerne un petit groupe de privilégiés pouvant se permettre de vivre au dessus des tâches bassement matérielles que l’immense majorité doit bien assurer. Mais il suffit d’une remise en cause d’une des vérités scientifiques pour qu’au contraire on croit plus totalement la science. Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. Explication philosophique du texte de Nietzsche La dernière modification de cette page a été faite le 16 mars 2016 à 15:08. Rien de cela n’est spontanément satisfait par la nature. De plus, Je ne me mets pas artificiellement dans la tête d'un élève hypothétique pour écrire ce que lui aurait pu écrire si j'avais été lui, ou s'il avait été moi. EXPLICATION DE TEXTE Humain, trop humain est une oeuvre du philosophe allemand Friedrich Nietzsche dont le premier tome fut publié en 1878. Bienvenue néanmoins à tous ceux qui y échoueront, par hasard ou par erreur. Il faut en tirer toutes les conséquences : l'épreuve de philosophie se fera en temps limité et dans une salle sans communication. Celui qui est saoul du jeu et qui n’a point, par de nouveaux besoins, de raison de travailler, celui-là est pris parfois du désir d’un troisième état, qui serait au jeu ce que planer est à danser, ce que danser est à marcher, d’un mouvement bienheureux et paisible: c’est la vision de bonheur des artistes et des philosophes. Mourir pour la « vérité ». Mais on devrait distinguer plusieurs types de danse. NIETZSCHE, Humain, trop humain, I §611 Voici l'introduction que vous pourrez trouverez en tête de l'étude proposée. En…. Humain trop humain II, Opinions et sentences mêlées, § 138. Friedrich Nietzsche est un philosophe allemand également philologue, poète, pianiste et compositeur. Qu’il s’agisse de Rudolph Noureiev ou des danseurs de Krump filmés par David Lachapelle dans Rize on ne va nulle part. Tout d’abord, un cycle simple, évident. Nietzsche l’appellera « jeu », parce que lui vise avant tout ici la gratuité d’une activité qui a perdu sa raison d’être et qui n’est plus pratiquée que pour sa simple pratique. Celle-ci est donc un système de jugement des actions humaines, qui marque du sceau de la culpabilité tous ceux qu’elle prend en défaut, tous ceux qui font volontairement le mal. Friedrich Nietzsche (philosophe allemand, 1844-1900): « La plupart des hommes sont bien trop occupés d’eux-mêmes pour être méchants ». Humain trop humain II, Le Voyageur et son ombre, § 333. « Être humain est un long travail d’illusion ». » Nietzsche nous démontre dans ce texte que le bonheur de l'Humain ne dépends pas seulement du bien-être de son organisme et donc du travail qui se doit d'être fourni pour. EXPLICATION DE TEXTE : Dans Aurore (1881), Nietzsche poursuit l'entreprise de critique radicale de la morale commencée dans Humain, trop humain, et pose ainsi les jalons d'un projet philosophique dont ses dernières oeuvres, de Par-delà bien et mal à Ecce homo, seront le couronnement. Humain trop humain Friedrich Nietzsche 1878 PRÉFACE 1. Il en propose trois types : marcher, danser, planer. C’est être en recherche d’un mouvement bien particulier, puisque c’est un mouvement sans but. Méfiance, l’humain est, on le sait, cette créature qui se laisse rarement enfermer dans la nécessité matérielle, et l’étude du texte de Nietzsche va précisément nous permettre de nous demander si la glorification exclusive du travail n’est pas une manière de restreindre l’envergure de l’homme. Peut-on vraiment faire le mal en sachant qu’on le fait ? C’est bien la raison pour laquelle Nietzsche utilise ici un vocabulaire qui appartient au domaine du mouvement. En somme, on peut dire que le travail est la condition humaine, mais que l’homme s’est conditionné à cette condition, à tel point qu’il est capable de la pratiquer sans raison. Jouer ? On peut ainsi interroger l’universalité du jugement moral et surtout sa légitimité. Pour échapper à l’ennui, l’homme travaille au-delà de la mesure de ses autres besoins ou il invente le jeu, c’est-à-dire le travail qui ne doit apaiser aucun autre besoin que celui du travail en général. Cette œuvre ébranle alors les théories de la métaphysique. Son texte porte sur la production d’œuvres d’art. 8 HUMAIN, TROP HUMAIN II Pourtant, ils sont bien de Nietzsche, et en outre indiscu-tablement marqués au sceau de sa pensée telle qu’elle se développe à partir de ce grand livre qu’estHumain, trop humain, qui ouvre la deuxième période de sa pensée, jus-qu’àAurore(1881) et à … Nietzsche : sa pensée en dix citations. C’est la première fois que je fais de la philo et je dois dire que quand j’ai lu cette étude de texte, je pense avoir tout compris et le texte m’a paru beaucoup plus simple ! Il y a 169 ans, naissait le philosophe allemand. Ein Buch für freie Geister) est une œuvre du philosophe Friedrich Nietzsche . Son entreprise généalogique a donc ici pour fonction de destituer la morale traditionnelle, ainsi que le sentiment de culpabilité qu’elle génère, pour restaurer l’innocence de l’action humaine. Le jeu est un travail qui tourne à vide, un « travail qui ne doit apaiser aucun autre besoin que celui du travail en général ». Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Commentaire de texte : extrait de « Humain, trop humain » de Friedrich NIETZSCHE (Philosophe du XIX ème siècle) Ce document contient 1323 mots soit 3 pages.Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Mais on voit bien qu’il ne peut s’agir là que d’une minorité, spirituellement aristocratique, élevée plus haut que le large peuple de travailleurs invétérés desquels ils se séparent. Dans un passage de Humain, trop humain, il tente justement de préciser quelles sont les véritables motivations du travailleur. Mais il suffit d’une remise en cause d’une des vérités scientifiques pour qu’au contraire on croit plus totalement la science. Cet extrait d’ Humain, trop humain de Nietzsche traite de la morale et plus précisément du mal. Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails. Karl-Ludwig, qui fut précepteur royal, vient de s'installer à Röcken, avec sa jeune femme, pour prendre ses fonctions de pasteur protestant. Satisfaire un besoin ? C’est l’habitude du travail en général qui se fait à présent sentir comme un besoin nouveau, adventice; il sera d’autant plus fort que l’on est plus fort habitué à travailler, peut-être même que l’on a souffert plus fort des besoins. Tout simplement parce que le travailleur comme le joueur visent cet état, ce troisième état, décrit par Nietzsche en des termes en apparence flous. Il n’a aucune autre destination que son propre accomplissement. On retrouverait sans doute les réflexions menées autour des notions de durée de travail ou les études effectuées par Hannah Arendt sur le monde du travail. l’activité de transformation de la nature, à l’aide d’outils et de machines en vue de satisfaire les besoins . Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Dès lors, il s’agit moins de parvenir à un produit satisfaisant un besoin que de trouver à s’occuper par tous les moyens possibles, quitte à ce que ce soit dans une agitation totalement gratuite. L’analyse de Nietzsche se heurte vite à des obstacles si on la place sur le terrain politique. Elle assigne les hommes à ces valeurs, les somme de les respecter. C’est ainsi que…. Une question idéale pour les vacances : Pourquoi nous divertissons-nous ? INTRO : Traitant du thème du travail, voire plus précisément, de l’étroit lien qu’il y a entre le travail et le bonheur, le texte de Nietzsche, extrait de son ouvrage intitulé « Humain, trop humain. Politique de confidentialité - Californie (USA). En termes nietzschéens, le travail est ici ramené au stade de fausse valeur, de valeur refuge permettant d’être rassuré à bon compte sur le manque d’ambition existentielle dont nous faisons facilement preuve. Toute société qui n’enseignerait que le travail serait donc une société sans perspective. Extrait tudi [Le texte est extrait de l'ouvrage de Nietzsche, Humain, trop humain I, paru en 1878. Pablo Picasso (peintre espagnol, 1881-1973): « Dans chaque être humain vit une colonie entière ». Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails. Ils en sont donc responsables. Une telle proposition pourrait tout à fait déboucher sur l’existence d’un groupe d’humains libres de pratiquer le loisir (au sens antique) et laisser à des subalternes le soin de fournir les efforts nécessaires à la satisfaction des besoins. On m’a assez souvent, et toujours avec une profonde surprise, déclaré qu’il y avait quelque chose de commun et de caractéristique dans tous mes ouvrages, depuis la Naissance de la tragédie jusqu’au dernier publié, le Prélude à une philosophie de l’avenir : ils contenaient Explication du texte de nietzsche, extrait de humain, trop humain : Dissertation : le recours à l'inconscient autorise t'il l'alibi de l'inconscience ? D'autre part, je souhaite rappeler aux élèves de Terminale que le bac demeure un examen, il ne s'agit pas (encore) d'un contrôle continu. Un mot pour ceux qui tomberaient sur ce blog en ayant tapé dans google l'intitulé de leur sujet. Il parait donc difficile d'exploiter ces documents pour les reproduire intégralement et vous faire passer pour leur auteur. L’alternative semble absurde tant le travail est a priori présenté comme nécessaire et la danse considérée comme futile. Humain trop humain II, Le Voyageur et son ombre, § 333. Non seulement elle n’apporte rien, mais surtout, elle ne préexiste pas au geste lui-même. Y a-t-il une chose inexpliquée, ils s’échauffent pour la première fantaisie qui leur passe par la tête et ressemble à une explication; il en résulte continuellement, surtout dans le domaine de la politique, les pires conséquences. Extrait de Humain, trop humain. Danser ? Ainsi une société, où l’on travaille sans cesse durement, jouira d’une plus grande sécurité : et c’est la sécurité que l’on adore maintenant comme divinité suprême. La danse de Saint-Gui était considérée au moyen-âge encore comme une possession dont souffraient ceux qui étaient soudainement pris de mouvements non contrôlés, impropres à une quelconque production. Haut du formulaire Bas du formulaire Nietzsche – Humain, trop humain (Eléments de corrigé) Cet extrait d’Humain, trop humain de Nietzsche traite de la morale et plus précisément du mal. ce commentaire semble etre une excellente approche de la vision qu’à nieztche sur le monde du travail.En d’autres termes,nous sommes sous l’emprise du travail.MERci harrystaut!!!!!!!!! Un siècle et demi plus tard, les questions soulevées par son œuvre philosophique restent très actuelles. Là où certains se contenteront de bouger en simulant l’aisance, là où on peut voir sur les pistes des boites de nuit ce qui peut s’apparenter au strict travail de la séduction, qui se pratique dans la sueur, sous le regard de contremaitre des autres clients, concurrents ou éventuelles proies du dur labeur du danseur sur ce qui ne peut porter de meilleur nom que « dancefloor » ; là où donc certains s’échinent, et triment à danser pour répondre à un besoin tout à fait terrestre, d’autres vont utiliser le même corps, (peut être plus affuté) pour produire un mouvement tout à fait gratuit, débarrassé de toute nécessité de rendement, ne cherchant à produire rien d’autre que le mouvement lui-même. Le joueur sort tout simplement du conditionnement par lequel il s’est progressivement habitué à agir selon ses besoins, en n’obéissant qu’à la loi de l’effort récompensé à sa juste mesure. On est bien là dans l’ordre des besoins et de la contrainte sans cesse réitérée. Ainsi on peut dire qu'une preuve ne justifie pas systématiquement….
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