: 04 66 59 52 50 RECH. Même loin des yeux, dans son cœur de pieds-noirs, l'Algérie est restée son pays. ? Morts au combat : 12 954 dont 5 605 militaires d'active (43,27 %) et 7 349 appelés du contingent (56,73 %) ; Morts d'accident : 8 057 dont 4 595 militaires d'active (57,03 %) et 3 462 appelés du contingent (42,97 %) ; Morts de maladie : 1 185 dont 621 militaires d'active (52,40 %) et 564 appelés du contingent (47,60 %) ; Portés disparus : 1 000 dont 462 militaires d'active (46,20 %) et 538 appelés du contingent (53,80 %). La télévision connaît, elle, une diffusion très limitée à la même époque[20]. ? Liste des combattants français de la guerre d'algérie. Après perception d’un nouveau paquetage les soldats recevaient une affectation, le livret militaire avait suivi. Quelques-uns ont écrit leur témoignage. Je faisais partie de la classe 61/1C. Renseignements sur André Brulé, originaire de Rennes ou ses environs, classe 57/2/B, CIDB Trèves, Zweibrùcken, 4e Cuirassiers, Wittlich, 6e RCA (Ouarsenis). Dans le cas français, la polémique fait rage, alors qu’une application de plus en plus sourcilleuse du secret-défense contredit les déclarations officielles sur une plus ample « ouverture » des archives de la colonisation et de la guerre d’Algérie. : 06 73 24 01 58 RECH. : 06 52 86 37 53 RECH. ? : 06 29 84 30 33 RECH. ? Il ne figure pas dans le registre des morts pour la France[10]. En 1955, ces effectifs passent à 190 000 hommes, du fait de la guerre d'Algérie. : 06 41 60 01 39 RECH. Militaires ayant fait la guerre d'Algérie dans les parachutistes de l'armée de l’Air avec mon père, André Magisson. Jean Pintiot et Georges Querendel, 19e Génie, 1960-1961. ? À noter également que certaines armes (aviation, marine) envoyaient peu d'effectifs en Algérie et pour une durée moindre (14 mois au lieu de 24). ? Pour les appelés du contingent, seulement la paternité d'au moins deux enfants, la présence d'un frère sous les drapeaux en Algérie ou reconnu pupille de la Nation pouvait constituer un motif d'exonération du service en Algérie. L’amicale des anciens du 25e régiment de Dragons organise sa prochaine rencontre, du 10 au 15 septembre 2017, à La Bréole (04). Adrien Croizier, lieutenant puis capitaine au 2e REI, entre 1945 et 1948. ? André Fontaine, andre.fontaine0566@orange.fr, 83 rue Marc Sangnier 94700 Maisons-Alfort, tél. : 04.42.54.13.47, joel.rideau@free.frRECH. Vous pouvez venir en camping-car. Pourtant récemment élu sur la promesse de contribuer à la « paix en Afrique du nord », il développe une politique répressive et refuse toute négociation avant l'obtention d'un cessez-le-feu. L'amendement Salan a finalement été rejeté. Jean-Claude Moreau, jean-claude.moreau972@orange.fr, 711 rue Saint-Honoré 78955 Carrières-sous-Poissy, tél. Anciens du 1/67e régiment d’Artillerie, 2e batterie à Roberville, 1960-1962, 3 mois à l’essaya puis peloton à Oran (4 mois). Il était affecté au 11e RCA et 6e RCA d'avril 1956 à juin 1957, à Souk-el-Arba, département de Tlemcen (Oranie) et a été démobilisé avec le grade de lieutenant. », « Il n'en est pas question. Le putsch a échoué en partie en raison du refus de participation du contingent ou même de sa résistance[16], de nombreux appelés écrivant aux généraux sous une signature collective pour les désavouer[15], pour la première fois dans l'histoire, ce qui déclenche une fracture dans l'institution militaire[16]. En 2004, 1 500 000 demandes ont été honorées, soit 86 % des militaires ayant servi en AFN entre 1952 et 1962[50]. Amis du 421e, classe à Strasbourg puis Batna. ? Hubert Eridan, 12 rue de Verdun 18200 Saint-Amand-Montrond , tél. : 06 07 02 86 81RECH. Ils nous offrent des témoignages rares de la dernière génération d’appelés français ayant connu le feu. Pour les pertes militaires françaises en Algérie (non compris le Maroc et la Tunisie), le Journal officiel du 4 août 1986 donne les chiffres suivants[37] : 11 913 morts soit 51,36 % du total des morts parmi les appelés du contingent. Compagnons du 153e Rim, 1re compagnie, 1958-1959, région de Souk-Ahras. Jean-Claude SANCHEZ, orane30free.fr, tél. Le recrutement de l'armée se faisait également par engagement. Bonjour, Je recherche des anciens combattants de la guerre d'Algérie ayant connu mon oncle le caporal Jacques Pierlot. Beaucoup font partie de l'UNC alors qu'ils viennent également avec nous retrouver leurs compagnons d'arme et commémorer annuellement la Sidi-Brahim. Jean-François Mery, tél. Informations sur les circonstances dans lesquelles le soldat Raymond Duetto a trouvé la mort dans une embuscade en mai 1958. Chronique d'un appelé 1959-1960. Veuves de guerre et d'anciens combattants, ginette.max@orange.fr, tél. SGA - Secrétariat général pour l'administration La saisie d'un nom est obligatoire Quelques appelés, nécessaires dans l’administration des casernes, pouvaient espérer effectuer leur service en France métropolitaine. Comment de Gaulle fit échouer le putsch d'Alger", de Maurice Vaïsse et André Versaille, cité par, "Le putsch manqué d'Alger", par Jean Planchais, Le Monde, 22/23 avril 2001, Message radiotélévisé du général de Gaulle du 23 avril 1961, sur le site de l'INA, avec en éclairage l'article d'Eve Bonnivard, journaliste de l'Agence France-Presse, "DE GAULLE FACE AU PUTSCH DES GÉNÉRAUX (22-25 AVRIL 1961)" par Frédéric Cossart, professeur d'histoire-, "Mémoires accessoires, tome 2 : 1946-1982", réédité par son fils Philippe de Gaulle, Place des éditeurs, 2014, "Militaires et guérilla dans la guerre d'Algérie" par Jean-Charles Jauffret et Maurice Vaïsse, Centre d'études d'histoire de la défense (France)|Éditions Complexe, 2001, "Jeunes appelés et rappelés en guerre d’Algérie" par Ludivine Bantigny, dans la revue. J'appartenaix à la 72e CCT. : 06 86 54 66 27 RECH. ? Pendant la guerre d'Algérie, entre 1954 et 1962, après la durée légale de 18 mois, certaines classes furent rappelées, d’autres furent maintenues sous les drapeaux jusqu’à 30, puis 28 mois. ? Pour rappel, une liste de 41 crânes identifiés provenant d’Algérie a été transmise en janvier 2018 à l’Élysée; en prévision de leur restitution en Algérie.null. Compagnon d’arme du nom d’Omer Dartois, né en décembre 1936 et ayant fait partie du 401e RAA entre 1956 et 1958. ? Jean-Marie Vandeputte, vandeputte-marquette@hotmail.fr RECH. ? : 06.32.62.05.15,  lucien44@orange.frRECH. Contact : Jean-Pierre Bagnigeau, tél. Anciens chasseurs du Loiret qui sont invités à se regrouper au sein de la Sidi-Brahim 45. : 06 30 96 56 19 RECH. La résistance prend aussi la forme de témoignages par le biais de photographies, parfois prises dans le cadre de certaines opérations, ce qui est interdit, afin de s’opposer à la guerre[8]. ? En 1958, la cérémonie d'hommage au monument aux morts d'Alger, à la suite de la nouvelle de l'exécution de prisonniers français par le FLN, a été l'élément déclencheur du coup d'État du 13 mai 1958. Quelques noms : Doumergue, Amar, Desjardins, Clara, Borgea,… secteur radio. Volontaires pour la harka. L'hebdomadaire d’information Le Bled (magazine), le plus lu de la presse militaire, publié de 1955 à 1962, a acquis une certaine notoriété[6] pendant la Guerre d'Algérie, avec un tirage très important pour l'époque, de 300 000 à 350 000 exemplaires chaque semaine et un recours massif à la photographie, y compris en première page et en mettant à contribution les appareils photos du demi-million d'appelés du contingent en Algérie, qui formaient aussi le lectorat du journal. Modalité de la conscription et vie quotidienne, L’appel sous les drapeaux pendant la guerre d’Algérie, Les sections administratives spécialisées (1955-1962), La journée des tomates du 6 février 1956 à Alger, La résistance au putsch des généraux d'avril 1961, L'amendement Salan (1961) pour écarter les appelés, Le cessez-le-feu en Algérie du 19 mars 1962, Les enlèvements d'appelés entre mars et juillet 1962, Traitement des appelés prisonniers du FLN, Œuvres sur les appelés du contingent en Algérie, Appelés notables du contingent en Algérie, « Si tu arrives en retard, c’est l’un de tes camarades qui partira en retard en permission », « Palestro restera comme la plus célèbre embuscade de la guerre, le symbole de ce qui peut arriver de pire : l'attaque surprise, l'impossibilité de se défendre, la mutilation des cadavres », « rôle prépondérant dans les réactions des appelés du contingent" », « Dès que les sirènes retentiront, ordonne-t-il, allez — sur les pistes des aérodromes — à pied ou en voiture, convaincre ces soldats trompés de leur lourde erreur, « en Algérie, un million de transistors ont fonctionné », « un tournant dans la perception de l’armée et des supérieurs de l’active, marqué par la résistance de jeunes appelés en pleine maturation civique et politique derrière la statue du commandeur de Gaulle mais aussi souvent un moment complexe et angoissant par son incertitude du à la réaction des cadres de l’active qui, pour beaucoup, mirent longtemps à choisir leur camp », « la France ne doit avoir aucune responsabilité dans le maintien de l'ordre après l'autodétermination. Michel Chapron, lilgilles@orange.fr, tél. : 06.82.45.01.21, dominique.dupont-franklin@orange.frRECH. Elles étaient principalement localisées dans l'Est, c'est-à-dire la Kabylie et le département de Constantine où ont respectivement commencé pour la première la révolte des Mokrani de 1871 et, pour le second, la Toussaint Rouge de 1954, les massacres du Constantinois de 1955 et une décennie plus tôt ceux de Sétif. Cette armée giraudiste était placée sous les ordres du général Alphonse Juin et fusionne avec l'armée gaulliste du général Jean de Lattre de Tassigny en 1944 pour former Armée française de la Libération. : 02 97 45 38 87 RECH. La Guerre d’Algérie. Jean Bouillier, bouillier-jean@orange.fr, tél. Anciens d'Algérie de 1961 à 1963 affectué au CIT 151, au GCR 602, BUT 504, Fort de l'eau, Maison carré, Tiziouzou. Une déclaration similaire en conseil des ministres est rapportée par le ministre Pierre Pflimlin dans ses mémoires (Mémoires d'un Européen : de la IVe à la Ve République), à la question qui lui a été posée : « les Français seront-ils protégés par l'armée française après l'indépendance ? Capitaine Jean Rabot Abadi, bataillon du 8e Rima, Aba Beni Sef, 1957. ? Informations sur mon grand oncle, Julien, Ernest Cécile, né le 28 janvier 1919 à Cailly (76), mort en Algérie en octobre 1942 (vers le 16). : 02 54, 22 49 51 RECH. Environ 12 000 sont tués ou portés disparus sur les champs de bataille de la Grande Guerre. On s’est revu lors d’une opération. ? Les appelés du contingent, ainsi que les réservistes, se distinguent des engagés volontaires qui ont fait la démarche de s'engager spontanément pour servir leur patrie. Le rapport sur les questions mémorielles portant sur la colonisation et la guerre d’Algérie (1), commandé par le président de la République française à … et parfois d’autres vieux et souvent délabrés (El Mansour, Sidi Ferruch)[1]. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Bernard Billon, bbillon44@orange.fr, tél. ? : 04 76 30 80 71 RECH. A. Magisson, amagisson@onisep.fr, tél. Après sa visite à Alger le 6 février 1956 dite journée des tomates, le président du Conseil Guy Mollet décide l'envoi de rappelés et d'appelés du contingent dans les départements d'Algérie pour un effectif de 180 000 à 200 000 soldats. Leur nombre a dépassé le demi-million à la fin de la guerre, pour une conscription de 28 mois. Sergent Cohe. En France, y compris dans les départements français d'Algérie (amendement Salan), dans l’année de leur vingtième anniversaire, les hommes étaient classés « bons pour le service » par un conseil de révision, sauf s’ils étaient réformés. La base de données présente 10 198 anciens combattants des guerres du xixesiècle jusqu’à 1993, constituées à partir des 9 833 dossiers individuels de combattants conservés aux Archives départementales, complétés par 365 inscriptions sur les registres de délivrance de la carte pour lesquelles les Archives ne détiennent pas de dossiers. et l'embuscade de patrouilles par des commandos, pratique assimilée à des actes de banditisme par le gouvernement français. Claude Riboulet, claude.riboulet463@orange.fr, tél. : 03 29 94 42 08 ou Jean-Louis Hoerner, hoerner.jl@wanadoo.fr, tél. La présence du transistor est appuyée par la citation de Robert Buron (ministre des Travaux publics) fait prisonnier par les parachutistes[20], avec un jeu de mots sur le « GTRF » rappelant le GPRF, Gouvernement provisoire de la République française, juin 1944-janvier 1947[20]. ? Jacki Malléa a quitté précipitamment cette terre natale à l'âge de 22 ans, quatre jours après la déclaration d'indépendance. Seulement quatre films traitent le thème spécifique des appelés du contingent en Algérie. Camarade dénommé Gerardin qui se trouvait avec moi à l’hôpital Maillot à Alger, entre avril 1960 et juin 1961. Pour rappel, une liste de 41 crânes identifiés provenant d’Algérie a été transmise en janvier 2018 à l’Élysée; en prévision de leur restitution en Algérie. La dernière modification de cette page a été faite le 11 janvier 2021 à 08:06. Paras ayant servi en Algérie, avril 1961-octobre 1962, 9e RCP, 1re compagnie, 1re section. La FNACA, association spécifique de tous ceux qui ont participé entre 1952 et 1962 à la guerre d'Algérie ou aux combats du Maroc ou de la Tunisie, se devait de proposer un site web afin d'offrir à tous ses adhérents, à ceux qui ne le sont pas encore mais également à un public plus large soucieux de mieux connaître cette période de notre … Cette rencontre aura lieu le 20 mai 2017. Claude Deneux, tél. Camarades de la 60/1b du 1er RIMa en France et arrivés en Algérie, 2/9eme RIMa en piton à Allèla puis Aït Hamét et pour finir, à la forestière le camp de base et camp du maréchal. Jusqu'à l'indépendance, les militaires français n'ont rien eu à craindre du FLN[réf. : 06 86 54 66 27, revol.claude@wanadoo.fr, tél. Olivier Blazy dans la, "Une guerre sans « non » ? ? : 03 22 32 72 25 RECH. En marge de la visite de François Hollande à Alger, son ministre délégué aux Anciens Combattants, Kader Arif, a déclaré ce jeudi à Alger que des.. Ces anciens combattants issus de la décolonisation ont dû connaître un parcours très difficile, semé d'embuches de toute part, pour pouvoir se prévaloir de la nationalité française au titre de la réintégration Ce film consacré aux anciens combattants algériens propose une rétrospective des combats les plus importants auxq… Le PC était à Mecheria puis en banlieue d’Oran à partir de février 1962 et dissolution du régiment en novembre 1962. ? Leur tâche était d'éduquer les enfants et les femmes habitant les zones rurales ou isolées qui étaient historiquement sous-administrées et majoritairement ou exclusivement peuplées de musulmans (communes mixtes, douars, mechtas et djebels). Informations sur mon arrière-grand-père Cécilien Pillot, il a reçu une médaille UNC. Rousseau, Alain, Montesi et Vauthier, nous avons fait nos 28 mois ensemble, à la batterie mobile mécano de Constantine, 803 COSM. Nous étions dans un véhicule de service avec le chauffeur, de mon coté j'ai été blessé à la tête. Quelques noms : Nouvel (35), Coquéric (29), Berriau (17), Connanec (56), Coyac, Huchon (44), Bergeron (87), Guérin (50), Favroul (33), Rivière et Sinquin de Vannes (56). lundi 9 janvier 2017 - [Télécharger l'article au format PDF] | : 03 89 82 74 13 RECH. : 03 20 79 58 39 RECH. : 03.84.49.45.53, claude.pothus@sfr.frRECH. Une plaque d’immatriculation individuelle, à découper selon le pointillé en cas de décès, indiquait que c’était la guerre. Lucien Bichon, tél. Claude Stierer, c_stierer@orange.frRECH. ? ? Quelques noms : Coppé, Hervé, Fritsch, Trèbes, les sergents Grosnier et Burek et autres camarades. Ces hommes constituent la dernière grande génération du feu. : 06 75 36 16 30, gilliard.claude@orange.fr. L'Armée consigne toutes les actions des régiments, au jour le jour, dans des registres appelés Historiques régimentaires. Nous continuons à perpétrer l'esprit chasseur et à honorer nos anciens. De 1914 à 1918, 73 000 Français d’Algérie servent dans l’armée française. Le soutien politique diminue ensuite, lorsque la Section française de l'internationale ouvrière (SFIO) au pouvoir s'engage dans la guerre. Anciens du 1er RS du 3e escadron en Algérie en 1962 (à Ain Mlila, le Krouls, Geud Amimine) qui pourrait me donner des nouvelles de Bucheneau, tireur sur EBR au 2e peloton, qui m’avait baptisé à mon arrivée au 1er RS, Caroline. Jean-Pierre Guedon, guedonjp@yahoo.fr, tél. ? Jean-Claude PREVOST dit "La Rafale" du bataillon de Corée en Algérie (156e RI, régiment de Corée), j.c.prevost@free.fr RECH. : 03 83 55 15 72 RECH. Anciens tringlots ayant servi dans la 304 CT 54 BS à Tiaret, au premier peloton à Frenda avec l’adjudant Becault, en 1961-1962. ? Page en hommage aux militaires Français morts à la guerre d'Algérie en AFN de 1954 à 1962 , avec l'accord du responsable du site de Soldats de France pour les photos des militaires morts . À partir de cette date, un stage de trois jours dans une caserne précédait l'incorporation. : 02 47 65 94 49 RECH. Ce fait peu médiatisé et méconnu de la guerre d'Algérie a été révélé, entre autres, par le témoignage d'André Aussignac, ancien appelé du contingent en Algérie, qui a évoqué son arrestation par le FLN et les conditions de sa détention dans une entrevue télévisée avec le journaliste Kristian Autain de France 2 en 2002[29]. Il s’agit du spahi Georges Petitjean, demeurant, à l’époque, à Bellecourt (Alger). Informations sur mon oncle qui est décédé le 21 avril 1992 à Onet-le-Château et qui a été trésorier de l’UNC de Rodez. Copains du 5e régiment de Hussards en 1957. ? En août 1960, 19 militants de Jeune Résistance tiennent un congrès. | OUEST-FRANCE Quatre témoins de la guerre d' Algérie se sont rendus au collège du Val-de-Vire, lundi 29 avril 2019, pour répondre aux questions des élèves. Elle est désignée comme ennemie à la fois par le FLN et par le pouvoir français métropolitain : ce sont les commandos Delta de l'Organisation de l'armée secrète (OAS). Camarades du 27e Dragons de Bir Rabalou, cotobre 1961-novembre 1962, El Affroun. Les anciens combattants de la guerre d' Algérie ont apporté des témoignages émouvants. Les transistors jouent un "grand rôle"[13], certains auteurs parlant même d'un « rôle prépondérant dans les réactions des appelés du contingent" »[14], lors du putsch des généraux entrepris à Alger le 22 avril 1961, pour tenter d'obliger le général de Gaulle à poursuivre la guerre, portant un coup fatal[15] à cette entreprise. [...] Si les gens, s'entre-massacrent, ce sera l'affaire des autorités algériennes », « les Français seront-ils protégés par l'armée française après l'indépendance ?
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